Il est sans conteste à mes yeux, que le président Macron à était celui qui à fait le plus de mal à la nation et à la république. Pour être franc, je ne suis pas un fervent répubilicain, je suis même profondément monarchiste. Mais pour autant, ce n’est pas tant une question de préférer un régime plus qu’un autre, mais c’est la question de ce qui reste de la politique, des partis et des institutions républicaines et démocratique du pays.
A la différence d’un schéma présidentiel, dont de plus en plus la légitimité n’est plus ce qu’elle est; les querelles de partis. Cela fait longtemps que nous avons compris pourquoi ils se battent avec ardeur pour conserver leurs places et garder une sorte de statu quo qui leur permet de continuer de se gaver.
Le monachisme, est selon moi la garantie que le chef suprême de la nation et des armées est au dessus de toutes ces batailles politiciennes. Avec son autorité, le monarque peut enclencher la démission du chef du gouvernement si la stabilité de la nation est en danger à cause de sa politique. Comme au Royaume-Unis, le monarque se devrait d’être politiquement neutre, en tous les cas officiellement. Cependant, il disposerait de la possibilité de ne pas ratifier une loi qui, à ses yeux, pourrait être mauvaise pour les intérêts et la stabilité de la nation. A charge au prochain de valider ou non ce texte de lois.
Si un retour de la monarchie en France, je la verrais de la sorte. Mais pour le moment, il n’est pas question de la restauration du monarque dans notre pays.
Aujourd’hui, ce qui est proposé comme schéma politique est de supprimer tout bonnement le parlement français, qui ferait faire des économies substantielles.
Tout d’abords, voici les mesures que je défends:
- Suppression du droit et instauration du vote obligatoire en France.
- Suppression des parlementaires et instauration d’un modèle similaire à la Communauté Helvétique.
Quels exemples pourrions-nous prendre de nos voisins Suisses?
Chaque civil de nationalité Français, recevront chaque récurrence (semaines ou mois) un pli. Dans ce pli, il sera composé d’un courrier type qui explique ce qui est attendu de nos compatriotes: dire si OUI ou NON ils acceptent la proposition de lois. Ils auraient un petit texte explicatif avec le numéro de la loi à départager et devront sélectionner leurs réponses sur cette fiche.
Ils disposent d’un document papier avec les textes de lois, différents textes de lois pourront être consultés via un QR Code. Et ils seront appelés à retourner au centre départemental qui recueille tous les résultats des suffrages et donne leurs réponses propres au premier ministre.
A quoi serviraient les partis politiques, et ceux qui sont considérés comme des parlementaires?
Il n’y aura plus de parlementaires, les élections dites législatives deviendront alors des élections générales. Là où il y avait un parlementaire, il aurait alors des représentants. Ces mêmes représentants des Françaises et Français devront se réunir ensemble et trouver des accords pour faire avancer le pays. Ils formulent des réformes qui seront soumises à l’approbation des citoyens.
A quoi nous nous risquerions si nous ne remplissions pas notre obligation électorale?
Différentes mesures contraignantes seront prises. Premièrement vous aurez un avertissement pécuniaire, de sorte que si vous n’allez pas voté et que vous disposez d’une aide sociale non contributive, une retenue pourrait être réalisée sur l’aide sociale qui serait perçue la fois suivante. Si vous n’allez pas au premier tour, mais allez voter pour le second tour, seule la moitié de la rétention électorale vous sera restituer.
Si en revanche, vous ne vous acquittez pas de votre obligation électorale, le département aurait totalement compétence et la légalité de couper les aides sociales non contributives telles que les APL ou le RSA. Si vous percevez des aides familiales, et que votre enfant ne s’acquitte pas de son obligation électorale, lesdites aides sociales pour cet enfant pourront être bloquées dans les mêmes modalités.
Si la personne ne venait pas à remplir son obligation électorale pour une élection suivante, les aides sociales pourraient être retenues pendant 3 mois. Les retenues sur les aides sociales décernées par la MDPH ne pourront pas excéder 50% chaque mois.